Fain Flinn chevalier au dragon

Puisqu'il faut un exemple, aller je me lance.

Défends la juste cause et je serai ton débiteur. porte la main sur la femme et l'enfant, sur le faible et l'opprimé, tu devra rendre gorge. telle est ma loi, il en serra ainsi, Dieu m'en est témoin!"
J'avais 10 ans, je vivais seul avec ma mère, dans notre petite chaumière. nous cultivions la terre pour survivre. un jour, je me suis absenter pour rendre visite à un vieil homme reclu dans la forêt, j'aimais qu'il me comte les formidable aventures d'un preu chevalier. sur le chemin du retour, une odeur acre vint impreigner mes narines. en approchant du hameau, ou ma mère et moi nous nous étions installées quelques années plus tôt, je fûs apeuré de voir une fumée noire et dense s'échapper au dessus de la clairière. c'est en arrivant que toute la vérité se donna à mes yeux. les logis finissaient de se consumer, c'est au milieu de se désespoir eue se dessina à moi une vision d'horreur, des corps empilés, empalés entrain de se consumer, la tête de ma mère avait été plantée au bout d'une lance. Je souffrais de voir tant d'horreur, et surtout d'avoir perdu la seule personne qui comptait à mes yeux. cette souffrance laissa libre court à une terrible envi de vengeance.
le vieil homme me prit avec lui et m'enseigna l'art de la guerre et beaucoup d'autres choses sans lequelles, le combat n'a aucun lieu d'être. je découvris très vite que les grandes histoires de chevalerie étaient partie intégrante de sa vie. quand je parvint enfin à le battre en combat singulier, il estima qu'il était temps pour moi de réclamer vengeance. Je parti donc, du haut de mes 26 années, sans un adieu.

Depuis tout petit, on m'avait raconté l'histoire d'une très belle cité qui s'était imposée face au mal tout puissant mais qu'avec le temps, celle-ci fut laissée à elle même. J'étais l'un des derniers descendant de ceux qui avaient mené cette cité à la victoire face à ses ennemis. Et je comptais bien faire renaître cette cité décadante.

Durant mon périple pour retrouver ma destination, je rencontrai Lady Crisalide, elle se joignit à moi dans ma quête et c'est ensemble que nous combattions tout ceux qui se mirent en travers de notre route.

D'autres compagnons se joignirent à notre marche. Freyja, la guerrière des sables, fut la première. elle venait d'une contrée lointaine qui avait toujours cherchée la neutralité dans tout conflit. Puis Blood, en charmante compagnie, que je fut surpris de voir, nous nous étions croisés au par avant, au moment, il était en partance pour délivrer une princesse. Il m'avait demandé de me joindre à lui, mais j'avais du refuser l'offre car je ne voulais point intérompre mon parcours. Il se trouvait, là, fier devant nous, fier d'avoir gagné sa guerre et que le roi lui est donné la main de la princesse en gage de remerciement. Il nous présenta donc son épouse qui l'accompagnait.

Nous n'étions plus qu'à quelques lieux de la cité, quand un farouche guerrier s'interposa. nous demandant de verser nos bien au sol, lui expliquant que nous n'étions nullement en posession d'or ni d'objets de valeur. mais que s'il se joignait à nous, il mangerait chaque jour qui viendrait sans se soucier du lendemain, avec sur la tête un toit de pierre et sous lui une couchette digne de se nom. La seule chose, qu'il devrait faire c'est se battre à nos côtés. Il nous regarda, très interloqué. Il accepta enfin et nous emboîta le pas.

En approchant de la cité, je me décidais à aller de l'avant...